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"On a beau connaître par cœur Adieu poulet (jusqu’à sa dernière réplique, qui donne son titre au film), on le revoit avec la même euphorie. Due en grande partie à l’épatant duo Ventura-Dewaere, qui semblent s’entendre comme larrons en foire, même quand, sur l’écran, ils sont brouillés. Mais pas seulement : on sent la joie du réalisateur et de ses scénaristes, Francis Veber et Jean Laborde, à saisir, dans leurs ambiguïtés, nos mœurs provinciales. Formidable séquence où Ventura éprouve un malin plaisir à donner la parole à un preneur d’otages, victime des magouilles locales, qui en profite, au mégaphone, pour insulter la crapule qui a réussi à se faire élire maire (Victor Lanoux). Quelques isolés, estimables, mais pas toujours inspirés comme Frédéric Tellier (L’Affaire SK1), ont tenté de prendre la relève. C’est dire combien Granier-Deferre et ses deux « poulets » restent précieux." Pierre Murat, Télérama