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"Tout le film est raconté en un plan-séquence, une gageure qui n’est rendue possible que par la synthèse entre la sophistication d’un dispositif de mise en scène ultracalibré (et répété), la virtuosité folle du chef op Emmanuel Lubezki (Gravity, Tree of Life) et les trucages numériques effaçant les coupes. Le stress des préparatifs de la représentation s’accumule et le tableau humain qui se déploie dans les incessants allers-retours entre la scène et la ville, la fiction et la réalité, est une épuisante fresque d’egos malades qui ne peuvent survivre qu’en virevoltant d’un monologue galvanisé à la haine de soi à une altercation postillonnante." Libération