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« Cet autoportrait de l’artiste en peintre d’estampes du 18ème siècle célèbre l’art éphémère, l’amour sans demi-mesures, et la fragilité du monde flottant. L’art de la mise en scène, le jeu du montré et du caché, est ici d’une sûreté de main sidérante. Les déplacements latéraux, figure de style mizoguchienne par excellence, sont d’une lenteur voluptueuse, et les fréquents fondus au noir séparant des scènes inachevées et comme laissées en suspens installent une troublante sensation de discontinuité temporelle. Il n’y a guère d’autre film qui ressuscite avec un tel bonheur expressif l’esprit du monde flottant. » Claude Rieffel, Àvoir-àlire
« Se juxtaposent et s’entremêlent dans le même film un art poétique et une vision tragique de la condition féminine (…) qui alimente la plupart des chefs-d’œuvre de Mizoguchi. D’où la richesse foisonnante d’un film qui est indispensable à la connaissance du credo intime de l’auteur. » Jacques Lourcelles, Le Dictionnaire du Cinéma (Ed. Robert Laffont)
« Ce film est l’admirable portrait d’un artiste populaire, homme fort et farouche, qui consacre tous ses efforts à la peinture de la féminité. Il voulait saisir la beauté féminine dans sa splendeur érotique, où elle brille de ses feux les plus éclatants et mystérieux. Il va jusqu’à peindre sur une peau vivante, ainsi sa peinture vit sur et avec son modèle. Il veut peindre la beauté des apparences aussi bien que la beauté physique. » Olivier Gamble, Le Guide des Films