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Après Pour une poignée de dollars et avant Le Bon, la brute et le truand, le deuxième volet de la trilogie glorieuse du western italien. Personnages cyniques et hauts en couleur, duels ritualisés et théâtralisés, dilatation du temps, musique entêtante qui sonne le glas de la vengeance... Leonissimo !
« C’est Ford qui, dans le passé, s’est le plus rapproché de la vérité de l’Ouest. Mais, lui, est un optimiste : lorsqu’un personnage ouvre une fenêtre dans ses films, c’est pour regarder l’horizon avec espoir. Et moi, un pessimiste : car c’est la peur d’être tué qui accompagne le même geste…On a parlé d’opéra à propos de mes films, sans doute à cause de la place prépondérante qu’y occupe la musique de Morricone. Je préfère me référer au grand mélodrame dont le maître reste Homère, et au roman picaresque où il n’y a ni héros, ni bons, ni méchants. » Sergio Leone