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Grâce à la restauration numérique menée par le Korean Film Archive (KOFA) avec le soutien de la World Cinema Foundation, le “Citizen Kane du cinéma coréen” (Bong Joon-ho), tourné en 1960 revient en version restaurée et copie neuve à la Filmothèque (qui avait présenté en 2008 une rétrospective “Grands Classiques du Cinéma coréen” en 60 films).
“Pour un Occidental, écrit Jean-Michel Frodon, la découverte d’un film comme La Servante, plus de 40 ans après, offre un sentiment merveilleux. Merveilleux non seulement parce qu’on découvre un extraordinaire faiseur d’images en la personne de Kim Ki-young, à la fois auteur et réalisateur, mais aussi parce qu’il s’agit d’une oeuvre absolument imprévisible. Luis Buñuel possédait donc un frère coréen ! […] Ce qui rend La Servante si stupéfiant réside dans l’intensité de la passion entre le compositeur et sa servante, les mécanismes visibles du triangle amoureux composé par le mari, la femme et la maîtresse, et la possibilité, à tout moment, que ce triangle soit perturbé, voire explose, à cause de la longueur inhabituelle d’un plan, ou de l’utilisation pop art des objets du quotidien, ou encore de la présence intrusive du corps féminin…”