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Une sublime adaptation de la grande Louise de Vilmorin. A noter pour la petite histoire, que Madame de dépose en offrande sur l’autel de Sainte Geneviève le fameux bijou afin de sauver son amant dans le duel qui l’oppose à son mari. Et cet autel existe toujours tout près de la Filmothèque, dans l’élise Saint-Etienne du Mont.
“Toute la force de l'œuvre filmée procède de sa technique. Max Ophuls y reprend et développe les thèmes de l'amour impossible qui étaient déjà au centre de deux de ses meilleurs films : Liebelei (Allemagne, 1933) et Lettre d'une inconnue (États-Unis, 1948). Certaines séquences (la valse qui n'en finit pas, le duel) se répètent presque identiquement d'un film à l'autre. Mais jamais l'impulsion romantique n'avait atteint ce point de stridence. L'élégante virtuosité de la caméra (chaque mouvement d'appareil traduit un élan du cœur, un sursaut ou une crispation du sentiment), la finesse du dialogue, la somptuosité du cadre, le raffinement de la musique, une interprétation de premier ordre (entre deux acteurs parfaits, Danielle Darrieux rayonne de féminité et de passion contenue), tout concourt à la perfection harmonique d'une œuvre sans faille.” (Encyclopédie Larousse).