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"Bourvil s’est parfaitement intégré au petit monde de Mocky, y apportant sa folie douce personnelle. Un drôle de paroissien, qui marqua leur rencontre, demeure un des meilleurs Mocky, révélant un cinéaste moins méchant que tendre, amoureux de ses acteurs. Outre Bourvil, tous les seconds rôles sont en effet extraordinaires, à commencer bien sûr par Francis Blanche et Jean Poiret, hilarants. On ne se lasse pas de cette histoire d’aristocrate ruiné et fervent catholique qui redore le blason et remplit les assiettes de sa famille en pillant les troncs des églises parisiennes. La poésie et l’ironie du film ne sont pas sans évoquer l’œuvre du génial Raymond Queneau, qui exerça à cette époque une influence évidente sur son ami Mocky." Olivier Père, Arte