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‘‘Franc tireur’’ du cinéma français au sein duquel il a construit un œuvre unique et singulier qui flirte avec l’expérimentation, Jacques Tati introduit dans Les Vacances de Monsieur Hulot, son deuxième long-métrage, le personnage de Hulot, qu’il fera revivre dans trois autres films. Ce personnage, parent des inadaptés sociaux en butte à l’hostilité des êtres et des choses de l’âge d’or du Burlesque, lui permet, bien mieux que François, le facteur de Jour de Fête, d’élaborer une forme de comique reposant sur le gag visuel tout en faisant du son un élément propre à l’expression cinématographique." Alain Garel