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« De ce monde hollywoodien et de ses dédales, de ce lieu magique qu’est un studio, de cette alchimie bizarre, de cette conjonction d’intérêts financiers et d’ambitions artistiques que suscite la fabrication d’un film, Elia Kazan qui, lui aussi, est enfant du sérail, donne une image à la fois mythique et réaliste, d’une justesse rare. » Jean de Baroncelli - Le Monde - 1977
« Le Dernier Nabab, c’était un défi, un film sur un personnage essentiellement américain, mélange d’homme d’affaires et de héros romantique. » (Elia Kazan)
« J’admirais la capacité de Pinter d’aller droit à l’essentiel, de sous-entendre les choses, de les suggérer. Et ce qui m’a stimulé, c’était de travailler avec un écrivain différent de tous ceux avec qui j’avais collaboré jusque-là, et différent de moi-même. » (EK)