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"Au sensationnalisme du film catastrophe traditionnel, le réalisateur de Traffic préfère l'hyperréalisme, l'enchaînement quasi mécanique des faits : contamination éclair, réaction pagailleuse des autorités, panique générale qui vire à l'émeute. Du cinéma ? Une chaîne info ? Allez savoir... Le retour à l'état sauvage - décrit de façon encore plus radicale dans d'autres récits d'apocalypse, comme La Route, de Cormac McCarthy - est d'autant plus terrifiant qu'il paraît aujourd'hui hautement vraisemblable : s'il ne s'agit pas d'un virus, c'est une faillite générale ou une révolte massive qui conduira la société telle qu'on la connaît vers le chaos, avec pillage et loi du plus fort..." Aurélien Ferenczi, Télérama