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« En sortant de la projection [du film], j’avais retrouvé l’excitation et le sens du jeu, le besoin de raconter et de me raconter le film que je venais de voir, et l’incapacité à le raconter autrement que comme une chaîne d’hypothèses. J’ai retrouvé le titillement de l’intelligence qui réagit au défi narquois que le réalisateur lance au spectateur. J’aime que Peter Greenaway (…) me provoque, m’inquiète, bouscule mon cartésianisme parce qu’en même temps il ne m’écrase pas. Il me fait penser, il me donne à voir ce que je ne suis pas capable de formuler. » (Jean-Pierre Jeancolas, Positif n° 518, avril 2004)