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« Miss Oyu est une histoire d’amour fou. Celle de deux amants dont la passion est exacerbée par la frustration. Une passion qui se déroule dans des maisons bien nettes et cloisonnées où les portes coulissantes qui s’ouvrent et se ferment symbolisent les interdits auxquels se heurtent les personnages. Miss Oyu est aussi un film balayé par des flambées romantiques, éclairé par des paysages de printemps, sublimé par le noir et blanc. » Pierre Murat, Télérama
« Dès les premiers plans du film, dès la lente arrivée sous les arbres de trois jeunes femmes qui vont présenter l’une d’elles à un possible fiancé, l’évidence de la beauté nous saisit jusqu’au vertige. La beauté de Miss Oyu a quelque chose de miraculeux. Avec les moyens les plus simples, avec cette évidence absolue qui est la marque du génie, Mizoguchi tient son film entier à un niveau de perfection qui rend les comparaisons presque impossibles. Rien n’est aussi sublime que Miss Oyu, sinon d’autres chefs-d’œuvre du même cinéaste, Les Amants crucifiés, Les Contes de la lune vague après la pluie, L’Impératrice Yang Kwei Fei ou Le Héros sacrilège. » Les Nouvelles Littéraires